Skip to main content

12 février 2019

ll n’y a pas de gestion d’actifs « allégée »

Les 12 derniers mois ont fourni plus d’un exemple des épreuves et des tribulations auxquelles sont confrontés les gestionnaires d’actifs d’infrastructure. L’effondrement tragique du pont Morandi en Italie en a été un exemple exceptionnel – une source du secteur nous l’a décrit comme « le pire cauchemar de tout le monde » – tandis que l’armée britannique a dû être appelée à intervenir à l’aéroport de Gatwick au milieu de quatre jours de perturbations peu avant Noël causées par un certain nombre d’observations de drones.

Dans ces deux cas, les difficultés sont survenues pendant la phase de détention. Mais l’octroi d’une indemnisation aux investisseurs espagnols dans le secteur de l’énergie solaire, bien après la vente de l’actif concerné, montre qu’une bonne gestion des actifs ne se limite pas à la période de propriété (voir p. 8). La phase de pré-investissement peut également être délicate, comme le montre la lutte acharnée entre Globalvia, APG et Corsair Capital pour le rachat du groupe espagnol de péage routier Itínere, un processus qui doit maintenant être conclu par les tribunaux espagnols.

Cela soulève des questions sur le moment où le travail d’un gestionnaire d’actifs commence vraiment et sur ce dont il est responsable – une source de débat sain sur les pratiques du secteur lors de notre table ronde annuelle sur la gestion d’actifs.

PDF VERSION

Leave a Reply